Baptêmes d'Albine, Emery, Marie et de...nan j'rigole, c'est tout.

Alors qu'elle récitait le Credo, une main rassurante était venue se poser sur son bras, et Marie avait entendu la voix d'Ally se joindre à la sienne. Heureuse de la sentir près d'elle, elle lui adressa un discret sourire et posa à son tour sa main sur celle de sa marraine. Écoutant alors avec attention les précisions apportées par Fabien, elle s'approcha à sa demande de l'autel, entraînant Ally avec elle.

Impressionnée par le ton solennel employé par l'ancien diacre, elle prit le temps de bien réfléchir à la portée de l'engagement qu'elle s'apprêtait à prendre. Un chemin difficile, des règles strictes...
Un instant, elle imagina dans sa tête la réaction de Theudrik, si elle lui avait posé une telle question : probablement, il lui aurait répondu "Quelle drôle d'idée de s'imposer toutes ces contraintes !"
Mais elle avait toujours été entourée de personnes croyantes, et le chemin d'Aristote lui paraissait la voie normale à suivre, la bonne voie, même si celle-ci n'était pas toujours la plus facile...
Aussi prit-elle une grande inspiration et prononça à voix haute, à la suite d'Albine, la phrase fatidique.

Oui, je l'accepte.

Soulagée, elle sourit à Allydou, et lutta intérieurement pour résister à la tentation de jeter un coup d'œil vers l'assemblée, et encore plus pour ne pas laisser ses pensées divaguer à imaginer les commentaires de son cher et tendre...

Tout près de Jazon et Androlyne, Emery ne se laissa pas impressionné par le ton de son père. Il répondit avec une nuance d'ironie :

- En ce jour, j'accepte pleinement de m'engager sur le chemin des Vertus, indiqué par Christos et Aristote.

Le ton était moqueur ; l'attitude solennelle des adultes était tristement désopilante. Il espérait que cela ne se voit pas trop néanmoins. Ses parents étaient habitués à ces grandes phrases de sa part.

Improbable mais vrai...Xelia s'était perdue dans les couloirs de Challiers se retrouvant devant la cuisine, peut-être que sa petite truffe l'avait guidé, et que les odeurs, les saveurs avaient réussi à lui donner une direction des plus attrayantes. Son nez ne la trompait guère, et elle savait qu'elle pouvait compter sur celui-ci. Pourtant Fanchon lui avait montré le bon chemin. Mais nul doutes, que les papilles gustatives de la jeune femme la guidait en priorité vers des contrées plus goûteuses...

Elle passa son minois à proximité de l'encadrement de la porte où les femmes se pressaient de finir les préparations...Xelia s'extasiait devant ce travail des plus raffinés. Elle pensa intérieurement "Bon sang ! Des gîgots ! Du lapin ! mais on dirait non loin du sanglier ! Oh le gibier j'adore ça !"
Si sa bouche était ouverte, nul doute qu'elle aurait bavé devant autant d'abondance...Le repas de ses seigneurs s'annonçaient réussis, et il fallait que Xelia le rapporte à Jrag qui devait déjà avoir faim le connaissant bien...

Aussitôt elle reprît sa route pour atteindre la chapelle, ils récitaient déjà tous le credo...Crédo qu'elle ne connaissait point, et qu'elle n'avait guère voulue apprendre...N'étant point baptisée, elle n'avait pas souhaité le mémoriser alors souvent elle bougeait les lèvres, finissait les mots que prononçaient ceux à ces côtés, et tout cela passait inaperçu. Elle entra dans la chapelle discrètement sur la pointe des pieds, manquant de trébuché sur une dalle qui se soulevait légèrement "Saperlipopette, cette église est aussi branlante que le domaine de Venas (^^)" puis elle vît nombre de ses amis Fondus, et quelques grands du dûché. De Androlyne, à Anakin, en passant par Jason, Nata et enfin Jrag qu'elle rejoignit à grande vitesse.

Se postant à ces côtés, elle lui infligea une grande tape dans le dos, afin de jauger de sa capacité à prendre les coups...Le vieux soldat était rouillé, tout comme la pointe de l'épée de Xelia cela dit...
Néanmoins, avant même qu'il ne prononce mot, elle murmura à ses oreilles : "Jrag ! Les DMLF ne se sont pas fichus de nous...Le buffet qui se prépare va être grandiose, j'ai vu du civet de lapin, du sanglier à la broche, et encore mieux du gîgot...Bon j'espère par contre n'avoir pas trop manqué la cérémonie..."

Elle se tût et regarda les enfants de Noeline et Fabien, vrai que Albine avait des yeux globuleux digne d'un lémurien...( spéciale dédicasse ) Pauvre enfant pensa Xelia...Mais sinon les autres étaient vraiment magnifiques, quoi que Emery avait la silhouette d'une fouine...Mais Xelia pensa qu'avec l'âge on changeait et que bientôt cela ne se verrait plus....

Le moment de confusion suite au malaise d'Albine étant passé, les deux enfants et leur nourrice avaient pris leur place devant Fabien tous accompagnés de leurs parrains et marraines respectifs.

Il se dégageait une certaine émotion dans la voix de leur père et Noeline pensa à cet instant qu'elle même aurait eut du mal à parler si elle s'était trouvée à sa place.
Les trois engagèrent leur foi et récitèrent le serment du baptême. Moment un peu solennel, Noeline s'en souvenait encore, elle aussi avait été baptisée par Fabien et tremblait devant son regard mais pour d'autres raisons.
Elle souriait intérieurement en pensant à leur chemin l'un à coté de l'autre.
Elle était perdue dans ses pensées et en fut tirée par les chuchotements dans son dos, il était question de gigots, rots et pièces de viande, Xelia et Jrag bien sûr ! Ces deux là auraient du être mariés depuis bien longtemps, toujours a babiller ensemble, mais les voies d'Aristote étaient parfois bien complexes pour l'esprit humain, sur ce coup là, il n'aidait personne.

Elle se retourna et leur sourit, amusée par ses propres pensées qu'elle se garderait bien de réveler

…Bercé par les paroles rituelles répétées par les impétrants, Sandino avait réussi le prodige de s’endormir les yeux grands ouverts, don transmis à travers les générations le bohémien en faisait un usage parcimonieux, l’ambiance comptant pour beaucoup dans le processus.

Combien de personnes croyant à le voir qu’il était attentif avaient perdu leurs temps à lui parler, attendant parfois de longs moments avant de renoncer à recevoir réponse à leurs questions. Repartant le plus souvent en le traitant de mal éduqué ou d’imbécile.

Zézé qui connaissait le don singulier de son homme depuis longtemps l’avait laissé dormir un moment avant de lui écraser un pied de son talon en lui parlant tout bas.


- Despertate !! tu vas louper les réjouissances et finir tout seul avec le très haut, il va pas te louper !!


- Le souper !! les tréteaux !! dové ?

L'on percevait ça et là des notes d'impatience parmi l'assistance, ce que Fabien pouvait parfaitement comprendre. Et oui, il était diacre, mis il n'en restait pas moins un homme, d'autant plus que les effluves des cuisines ne manquaient pas de harceler les narines des convives, l'odeur traversant la cour du château jusqu'à la chapelle.

Reprenant son sérieux, Fabien s'approcha du baptistère et remplissant un calice d'argent avec de l'eau bénite, il s'approcha des trois impétrants. Lorsqu'il versa l'eau baptismale sur leur front, il dit:

Alors, je vous baptise, au nom de Dieu, de Christos et d'Aristote, Amen.

Il se retourna ensuite vers l'autel et prononça les paroles suivantes:

Dieu tout puissant entends mes paroles, désormais Albine, Emery et Marichen sont touchés par ta grâce, donne-leur le courage de surmonter les épreuves de la vie et guide-les sur le bon chemin.

Que leurs parrains et marraines les aident à faire leurs premiers pas sur cet ardu chemin.

Fabien tendit à chacun des baptisés un cierge et dit:



Allez en paix dans le monde et par ce symbole allez dispenser la lumière et les paroles du Seigneur et d'Aristote.

Je vous remet aussi une médaille, qui symbolise votre baptême, et qui vous rappelera de quelle famille vous faîtes partie, désormais.

Code:

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Puis, s'adressant aux parrains et aux marraines:

Si vous voulez dire quelques mots, c'est le moment.

Il leur sourit chaleureusement.

Quel caractère étonnant que celui de Fabien ! Parti dans une inspiration divine quelques instants plus tôt, voici qu'il reprenait soudainement pied dans la réalité et accélérait brutalement la fin de la cérémonie ! A se demander ce qu'il avait pu lui passer par la tête... Ainsi, avant que Marie n'ait eu le temps de s'inquiéter de ce qu'il allait se passer, voilà que le diacre s'était approché avec un calice rempli d'eau bénite et avait versé un peu d'eau sur leurs fronts. Brrrr ! Que c'était froid ! Heureusement, il avait prononcé en même temps les paroles que Mariechen, Albine et Emery attendaient depuis le début de la cérémonie.

Alors, je vous baptise, au nom de Dieu, de Christos et d'Aristote, Amen.

Sourire aux lèvres, elle s'approcha pour saisir le cierge tendu par Fabien et pour recevoir sa médaille de baptême.

Elle observa cette dernière quelques instants avec émotion : elle avait souvent vue celles de ses amis, mais de tenir la sienne, aujourd'hui, entre ses mains, cela faisait un tout autre effet ! Elle se sentait fière d'appartenir enfin à la grande famille d'Aristote, et, un peu émue soudainement, elle ne put que bredouiller à Fabien un : merci ! un peu maladroit mais sincère.
Puis, désireuse d'épingler la médaille sur sa robe, elle se tourna vers Ally.

Tu peux m'aider ? Avec ce cierge, j'ai peur de mettre feu à ma robe si je le fais toute seule !

Emery était partagé. Il avait envie d'un côté que la cérémonie s'achève, mais il semblait manquer quelque chose si personne ne parlait. En même temps, il n'avait pas envie de se donner encore en spectacle.

Androlyne se mit à sa hauteur. Il la remercia silencieusement de parler à voix basse. Ce manque d'intimité le gênait. Spontanément, il allait répondre une de ses phrases habituelle : Je ne doute pas de votre bonne volonté à me guider dans le droit chemin. Plaisir et honneur sont pour moi en ce jour.

Il se ravisa, regarda sa marraine droit dans les yeux, et approchant doucement son visage, l'embrassa sur la joue, comme un enfant.

Jazon était bien présent au baptême. Mais il y était bien plus physiquement que mentalement.
Des pensées et des sentiments contradictoires tourbillonnaient dans son esprit.
Il était heureux pour ses trois jeunes âmes qui entraient dans la grande famille aristotélicienne.
Il avait pleinement conscience de la grande responsabilité que lui avaient proposé ses cousins Noéline et Fabien que d'épauler, guider et conseiller leur fils Emery sur le chemin de sa toute jeune vie, pleine de bonheur entouré de sa famille et où l'insouciance était encore reine . Elle serait bientôt rempli de projets, de buts à atteindre mais aussi d'embuches, de difficultés, de découragements.
Et Jazon savait que ce serait son rôle, au côté de ses parents, de se féliciter du bonheur et des réussites de son filleul mais aussi de partager ses peines, ses doutes et de lui insuffler le courage et la volonté de les surmonter, et tout cela, dans le respect des préceptes aristotéliciens. Ce que tout parent devait faire normalement avec son enfant...

Cependant, il n'avait pas desserré les dents lors des prières durant la cérémonie.
Les pensées positives pour l'entrée de son filleul dans l'assemblée des fidèles d'Aristote étaient supplantées par des sentiments de tristesse et de peine mais aussi par une colère sourde et difficilement contenue contre celui qui avait enlevé une fois de plus son deuxième fils.
Comment un dieu quelqu'il soit pouvait il laisser faire cela ?
Enlever un enfant à ses parents ?

C'est l'esprit ailleurs qu'il avait suivi Emery et les deux autres récipiendaires près du baptistère.
Une image revenait en boucle devant ses yeux, celle de son fils Gandelin en sueur, ses mèches de cheveux collés sur son front brulant, couché sur une simple paillasse dans une cellule servant d'infirmerie au monastère.
Jazon avait assister à ces derniers instants, l'esprit de son fils étant déjà loin de la réalité terrestre. Il était arrivé trop tard, alors que son fils était déjà inconscient. Il n'avait pas pu lui dire qu'il était là, qu'il l'aimait, qu'il n'avait pas à avoir peur.
Il s'était senti si impuissant, si inutile....

"Si vous voulez dire quelques mots, c’est le moment."
Ce sont les quelques mots de Fabien qui le sortirent de cet état second. Revenant à l'instant présent, il eut comme un sentiment de honte d'avoir de telles pensées lors de cette cérémonie.
Son visage était resté impassible durant toute la cérémonie.
Seuls, ses poings s'étaient serrés quand certains mots des prières aristotéliciennes étaient parvenus à atteindre sa conscience parmi le tumulte de ses pensées. Révolte, colère et incompréhension supplantaient toute autre sentiment.

Jazon jeta un regard un peu hagard autour de lui mais se ressaisit immédiatement.
Il entendit les quelques mots d'Androlyne à leur filleul commun et fit à la jeune femme un léger sourire pour donner le change.
Puis il posa sa main sur l'épaule de l'enfant et se pencha vers lui.
La lumière de la bougie que tenait fièrement le jeune baptisé illuminait son visage. L'espace d'un bref instant, Jazon vit le visage de Gandelin se superposer sur celui d'Emery et il entendit une voix venant de son for intérieur : "N'ais pas peur père.... Je vais bien..."
Jazon, pourtant maître de lui même, eut un regard stupéfait.
Il passa sa main dans les cheveux comme d'autres se seraient pincer pour être sur de ne pas réver.
Mais l'image avait laissé place au visage d'Emery qui le regardait de ses yeux enfantins, une bougie dans une main et la médaille du baptisé dans l'autre.
La seconde suivante, et malgré un regard brillant et mouillé, Jazon avait repris superficiellement la maitrise de la situation. Son coeur, lui, battait la chamade.

D'une voix à la limite du chuchotement, il dit à Emery : Sois toujours fier de tes actes, Emery, si tu les fait avec le coeur et dans l'amitié de ton prochain. Un acte sincère vaut bien plus que mille discours.

Sa main serra doucement l'épaule de l'enfant puis elle la lacha et vint ébouriffer doucement la tête blonde de son filleul.

Jazon se redressa et regarda les trois nouveaux baptisés.
Il s'éclaircit la voix.
Huuummm......
Bienvenue à vous trois dans votre nouvelle famille et parmi vos nouveaux amis. Ils sont nombreux comme chacune de ces étoiles qui brillent dans le ciel et forment la voie lactée, comme chacun de ces grains de sable sur une plage, comme toutes ces gouttes d'eau qui forment les rivières et la mer.
Ils sont uniques et pourtant, ils ont besoin de tous les autres pour former un tout.
Vous êtes tous les trois uniques mais vous entrez dans une grande famille dont chaque membre à son importance.
Alors, nous ne pouvons que vous félicitez d'avoir choisi de la rejoindre. Merci à vous !

Jazon jeta un regard étonné à Fabien et Noéline, surpris lui même d'avoir autant parler. Ce n'était ni dans sa nature, ni dans son tempérament d'être aussi volubile.

Il fit un pas en arrière et se tourna vers Gypsie, encore sous le coup de ces multiples émotions.
Il chercha son regard pour y trouver réconfort, force et apaisement.
Peut être lui raconterait il....
Très certainement, oui !
Elle devait savoir elle aussi que leur fils allait bien.

Est ce terminé ? Tout le monde avait il parlé ? Les parrains et marraines avaient dit un petit mot à leurs filleuls respectifs et la cérémonie touchait à sa fin.
Noeline nota qu'il faisait froid dans la chapelle, elle frissonna.
Elle s'approcha de ses enfants et leur déposa à chacun un baiser bienveillant sur le front, juste un baiser et un sourire, pas besoin de plus, ils savaient combien elle était fière d'eux et comblée par la grâce d'Aristote qui lui avait accordé sa bénédiction. Elle se savait chanceuse et privilégiée surtout.
Ensuite, elle se tourna vers Marie et l'embrassa, la félicitant au passage.

Merci Marie pour toutes ces années à nos cotés, tu as été une fidèle amie, je saurais m'en souvenir.
Ce jeune homme là bas, il me semble très gentil et les regards qu'il te lance ne sont pas équivoques, alors ... soyez heureux et j'espère que tu sais que notre maison sera toujours la tienne.

Un regard vers Fabien. Elle s'approcha du Vicomte et lui glissa à l'oreille : Tu peux être fier, nos enfants sont notre fierté et notre réussite, je pense que nous pouvons allez célébrer cela en passant à table, qu'en dis tu mon tendre ami ?

Jazon perçut le regard et le sourire de son cousin. Avait il remarqué quelque chose ?
Il lui rendit son sourire en espérant donné le change.
Celui-çi remit les certificats de baptême aux trois baptisés leur recommandant de ne pas les égarer.
Jazon se demanda où il avait bien pu mettre le sien.
Puis Fabien ouvrit un registre et, après y avoir apposé sa signature, il invita les parrains et marraines à venir signer à leur tour.
Ce que fit Jazon en prenant la plume qu'il lui tendait.
Tout en écoutant la jeune Marichen, il signa de son nom "Jazon Duchesne de Marigny-Viverols" sous le prénom de son filleul "Emery".
Il tendit la plume au suivant et s'approcha d'Albine et de la jeune nourrice.
S'inclinant vers elles : Félicitations damoiselles !

Puis se redressant, il vit que la jeune femme tenait par la main une personne.
Jazon observa le visage du jeune homme qui ne lui était pas inconnu. Fronçant légèrement les sourcils, il fit un effort de mémoire.
Le poitou ! Une course équestre !
Oui ! Ca devait être ça.

Pardonnez moi sieur..... Je crois que nous nous sommes déjà rencontrés.... Enfin.... Si vous voir galoper à bride abattue lors d'une course puisse être une rencontre....
Mais.... Pardon.... Je ne me suis pas présenté.... Jazon Duchesne de Marigny-Viverols, cousin des de la Fléchère mais également celui de feu Elra de Chenaneguère...
Nous étions avec mon épouse de passage en Poitou et nous avons assisté à l'épreuve équestre qu'Elra avait organisé. Et je crois bien que vous étiez l'un des participants....

Jazon chercha du regard Gypsie et lui fit signe d'approcher.

Plusieurs fois Zézé avait tiré sur la manche de Sandino pour le faire asseoir. Il trouvait des excuses pour sortir de la chapelle ... voir si il faisait nuit, voir si les mules avaient à boire et à manger, voir si l'herbe dans le parc avait poussé, trouver la cave, faire la liste des vins dans la dite cave, trouver une femelle pour son canard .... enfin peu importe la raison, il voulait sortir, ce que sa compagne lui refusait en lui tirant sur la manche.

- E quasi finito, aspetta un po !! (c'est presque fini, attend un peu) regardes il y a la distribution de médailles et de certificats, c'est signe que c'est la fin

Sandino s'asseyait en marmonnant dans sa moustache qu'il n'avait pas. Quand enfin la cérémonie semblait fini, ils étaient les premiers à sortir pour attendre de féliciter les nouveaux baptisés.